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Sophie Ristelhueber, « Formes de la Ruine »

Sophie Ristelhueber occupe une place dorsale dans cette exposition collective, avec plusieurs oeuvres clés tout au long du parcours – WB (2005), Babylone (2016), Every One (1994), ou encore Eleven Blowups (2006) – qui développent la réflexion d’Alain Schnapp,archéologue et historien, auteur de l’important ouvrage  » Une histoire universelle des ruines  » (2020) et à partir duquel l’exposition a été conçue. L’exposition, qui mélange les arts premiers et contemporains, prend les airs d’un périple dans les ruines, ou d’un dialogue entre les civilisations autour de quatre thèmes : la mémoire et l’oubli, l’équilibre entre nature et culture, le lien entre le matériel et l’immatériel, la tension entre présent et futur.